Une Ă©cole qui n’a jamais cessĂ© d’Ă©voluer

L'école d'autrefois

Redoublement, punitions, devoirs mal vus....L'Ă©cole de nos grand-parents Ă©tait trĂšs diffĂ©rente de celle que nous connaissons aujourd'hui. Elle se voulait plus sĂ©vĂšre, non collective, exclusive des Ă©lĂšves n'arrivant pas Ă  suivre. Le professeur avait la place centrale et dispensait des cours magistraux. La relation avec les parents Ă©tait plutĂŽt bonne ; les mots clĂ©s de l'Ă©ducation Ă  l'Ă©cole ou Ă  la maison Ă©taient "discipline" et "rigueur". Mai 1968 marque une rupture avec le conformisme ambiant, ainsi, la rĂ©volution est prĂ©sente aussi bien dans la sociĂ©tĂ© que sur les bancs de l’École....  

Les pédagogies alternatives, une solution ?

L'arrivĂ©e de ce nouvel Ă©lan marque l’émergence d'autres pĂ©dagogies qui sont cette fois centrĂ©es sur l'enfant et son bien-ĂȘtre. [caption id="attachment_1956" align="alignleft" width="300"] Source : thefamouspeople.com[/caption]   Des pĂ©dagogies mĂ©connues du grand public font alors leur apparition. Maria Montessori, mĂ©decin et pĂ©dagogue, tentait pourtant dĂšs le dĂ©but du 20 Ăšme siĂšcle de se faire une place dans le monde de l'Ă©ducation. Elle se consacra Ă  l'Ă©ducation des enfants "retardĂ©s mentaux" avant d'Ă©tendre sa pĂ©dagogie aux autres enfants et fonda son Ă©cole Ă  Rome en 1907. Sa devise : "Aide-moi Ă  faire seul". Cette pĂ©dagogie est fondĂ©e sur la volontĂ© d'aider l'enfant Ă  se construire et Ă  dĂ©velopper son autonomie Ă  partir de l'observation de ses rythmes de dĂ©veloppement. La mĂ©thode Montessori met Ă  profit ces pĂ©riodes pour aider le jeune enfant Ă  dĂ©couvrir par lui mĂȘme des connaissances et des expĂ©riences nouvelles en utilisant tous ces sens.   [caption id="attachment_1959" align="alignleft" width="222"] Source : babello.com[/caption] En 1964 une certaine Ă©cole dites "Ă©cole Freinet" est reconnue officiellement comme "Ă©cole expĂ©rimentale". Celle-ci est basĂ©e sur les travaux du pĂ©dagogue CĂ©lestin Freinet qui ancre sa rĂ©flexion sur le respect des rythmes et des centres d’intĂ©rĂȘts de l’enfant.Pour lui, le savoir et l'apprentissage doivent s'encrer dans le vĂ©cu et la vie de l'enfant pour avoir un sens et pour ĂȘtre compris et retenu par lui. Tous les modĂšles de pĂ©dagogies alternatives ont empruntĂ© Ă  la pĂ©dagogie de Freinet. Et mĂȘme si la mise en Ɠuvre de cette pĂ©dagogie Ă  conduit certaines Ă©coles Ă  explorer d'autres voies que certains ont qualifiĂ© de dĂ©rives, elle n'en reste pas moins d'actualitĂ©.           [caption id="attachment_1988" align="alignright" width="300"] Source : timetoast.com[/caption] Jean Piaget est nĂ© en Suisse en 1896. Sa pĂ©dagogie est basĂ©e sur ses travaux sur les stades de dĂ©veloppement de l'intelligence chez les enfants. Piaget souhaite que les enfants apprennent par l’expĂ©rience autour d' activitĂ©s diverses et concrĂštes.

Piaget a identifié 4 stades caractérisant la construction de l'intelligence :

    -Le stade sensori-moteur : de la naissance à 2 ans, l'enfant acquiert la maßtrise de sa motricité la connaissance des objets physiques
    -Le stade puéril : de 3 à 7 ans, caractérisé par l'égocentrisme
    -Le stade opérationnel concret : de 7 à 12 ans, l'enfant découvre la conceptualisation abstraite (calcul)
    -Le stade opérationnel formel : de 12 à 15 ans, l'enfant acquiert le raisonnement logique systématique.
Les travaux de Piaget ont trĂšs largement influencĂ© l'Ă©ducation, mĂȘme si ses thĂ©ories sont actuellement remises en cause par les dĂ©couvertes et Ă©volutions de la psychologie.  

Les TICE au service de la dyslexie Ă  l’Ă©cole

NOUS VOUS INVITONS CHALEUREUSEMENT A VENIR NOUS RENCONTRER EN CE VENDREDI 28 AVRIL POUR ECHANGER SUR LES OUTILS TICE AU SERVICE DES ELEVES DYSLEXIQUES !! la-dyslexie_article_full
Source image: http://www.gezondheid.be/index.cfm?fuseaction=art&art_id=9562
En France, selon l'Inserm il y aurait entre 3 et 5% d'enfants en ùge scolaire atteints de dyslexie. Cela représenterait environ 1 enfant par classe. La dyslexie est un trouble de l'apprentissage. Plus précisément c'est un dysfonctionnement cognitif, reconnu comme handicap. Il s'agit de la difficulté à déchiffrer des mots: inversion et confusion de lettres, rendant l'apprentissage et la lecture difficile. C'est un problÚme de santé publique.

Dyscalculie et TICE

Bien que moins connue que la dyslexie, la dyscalculie reprĂ©sente un des troubles de l’apprentissage qui perturbent les progrĂšs scolaires. Heureusement, la dyscalculie n'est pas une fatalitĂ©, il existe des moyens de compensation dont les TICE font partie. Dans quelle mesure les TICE constituent-ils un moyen de remĂ©diation pour la dyscalculie ?
  1. Les dys et les tice (définition, législation, inclusion...)
  2. La dyscalculie
  3. Les tice pour aider les élÚves dyscalculiques
  4. Et dans la pratique ?

Les rĂ©seaux sociaux Ă  l’Ă©cole


VENEZ NOUS RENCONTRER CE VENDREDI 28 AVRIL POUR DÉCOUVRIR NOS RECHERCHES ET POUR TROUVER RÉPONSES A VOS QUESTIONS !!! Petit buffet offert par l'Ă©quipe ! On compte sur vous et sur votre prĂ©sence ce vendredi Ă  partir de 14h00 !!! Et consultez notre PrĂ©zi sur: https://prezi.com/ekobb5byfe4m/utiliser-les-reseaux-sociaux-en-classe/ Introduction: Les rĂ©seaux sociaux sont de plus en plus envahissant surtout Facebook ou Twitter, dans notre espace privĂ© et public. En France, en 2013, selon MĂ©diamĂ©trie[1], prĂšs de 80% des personnes Ă©taient inscrites sur un rĂ©seau social. Une Ă©tude de la Commission EuropĂ©enne a montrĂ© en 2010 que 38% des 9-12 ans avaient un compte Facebook, pourtant interdit aux moins de 13 ans. Selon Katrin Acou-Bouaziz et Alexandre ACOU, auteurs du livre Internet Ă  l’école, lancez-vous !, apprendre aux enfants Ă  utiliser les rĂ©seaux sociaux constitue une Ă©tape cruciale dans leur responsabilisation face au numĂ©rique et que l’école doit les sensibiliser le plus tĂŽt possible car la nouvelle gĂ©nĂ©ration est de plus en plus tĂŽt devant les Ă©crans. NĂ©anmoins, cette rĂ©alitĂ© pose dĂ©bat. Mais d’aprĂšs Katrin Acou-Bouaziz et Alexandre ACOU, les rĂ©seaux sociaux permettent de donner du sens aux productions des Ă©lĂšves car ces productions sont rendues publiques donc l’élĂšve a envie de bien faire. Question : Les Ă©coles sont-elles autorisĂ©es Ă  utiliser les rĂ©seaux sociaux en classe ? Plan : Les programmes et la lĂ©gislation sur cet emploi, les diffĂ©rents types des rĂ©seaux sociaux ainsi que leurs usages en classe et enfin les diffĂ©rents enjeux des rĂ©seaux en classe. [1] Une sociĂ©tĂ© anonyme spĂ©cialisĂ©e dans la mesure d'audience et les Ă©tudes marketing des mĂ©dias audiovisuels et interactifs en France. "Un des intĂ©rĂȘts majeurs de travailler avec Internet en classe est la possibilitĂ© d'utiliser des outils collaboratifs comme les blogs ou les rĂ©seaux sociaux. Tout d'abord parce qu'ils "donnent du sens" aux apprentissages en rendant publiques les productions d'Ă©lĂšves et donc en les soumettant au regard d'autrui. RĂ©sultat, l'envie de lire et d'Ă©crire suit naturellement. Ensuite, parce que ces outils collaboratifs s'avĂšrent les grands gagnants de la rĂ©volution du web". Source : « Internet Ă  l’école, lancez-vous ! » Katrin Acou-Bouaziz et Alexandre Acou, Éditions Retz (janvier 2015) http://www.editions-retz.com/pedagogie/domaines-transversaux/internet-a-l-ecole-lancez-vous-9782725633183.html   I- Ce que disent les nouveaux programmes et la lĂ©gislation (droit Ă  l'image, droit d'auteur, droit Ă  la voix) On ne retrouve rien de particulier dans les instructions officielles qui empĂȘcherait d’utiliser les rĂ©seaux sociaux en classe. Les programmes ne parlant quasiment pas des rĂ©seaux sociaux, ils peuvent donc ĂȘtre exploitĂ©s par les enseignants. De plus, certaines mesures garantissent un usage responsable tel que le droit Ă  l’image dans les Ă©coles. Les rĂ©seaux sociaux, mĂȘme s’il n’existe aucune interdiction en classe, soulĂšvent tout de mĂȘme des questions telles que :
  • Peut-on tout dire sur son compte ?
  • Que valent les conditions gĂ©nĂ©rales proposĂ©es par les rĂ©seaux sociaux ?
  • Quelles prĂ©cautions faut-il prendre en cas d’utilisation des rĂ©seaux sociaux Ă  des fins pĂ©dagogiques dans le cadre scolaire ?
Le principe : Toute personne a un droit absolu sur une image. Ainsi toute diffusion d’une photo, d’une vidĂ©o dans lequel une personne est reconnaissable doit donner son autorisation de publication. Internet a grandement facilitĂ© la publication d’images et de vidĂ©os. Il n’est donc pas rare qu’une personne publie une image d’elle et ses amis sans demander l’autorisation. Cependant, l’image d’une personne est protĂ©gĂ©e juridiquement car « Chacun a le droit au respect de sa vie privĂ©e y compris au respect de son image » selon l’article 9 du Code Civil.   II- Typologie des rĂ©seaux sociaux (genres) et usages Facebook : Chaque internaute a la possibilitĂ© de crĂ©er son profil limitĂ© Ă  un rĂ©seau d’amis (personnes proches ou inconnues) qu’il a acceptĂ©es. Il permet de partager : statut, photos, liens et vidĂ©os. Il est aussi utilisĂ© par les entreprises, les artistes pour leur promotion grĂące aux pages fans accessibles Ă  tous. Leader dans le monde. Twitter : outil de microblogging qui permet d’envoyer des messages appelĂ©s « tweets » aux internautes qui suivent chaque compte. Ce sont les « followers » soit les abonnĂ©s. Il permet de suivre l’actualitĂ© de l’entourage ou mĂȘme de personnalitĂ© ainsi que d’échanger des avis et des « commentaires ». MySpace : espace web personnalisĂ©. PossibilitĂ© de prĂ©senter des informations personnelles et de faire un blog. Ce rĂ©seau est notamment connu grĂące aux nombreux groupes musicaux qui ont pris possession de cet espace, sa popularitĂ© a baissĂ©e ces derniĂšres annĂ©es. D’autres moins connus : Beboomer : pour les plus de 45 ans. Cafemom : pour les mamans. Kaboose : plus accĂšs pour la famille. YouTube & Dailymotion : moins sociaux mais permettent de mettre en ligne et partager des vidĂ©os. On peut y trouver tous types de vidĂ©os politiques, d’humour, de sport, de musique, de cinĂ©ma, d’art
 il propose Ă©galement la possibilitĂ© de laisser un commentaire sous la vidĂ©o. FlickR : site de partage de photos (amateurs ou professionnelles) gratuit mais oĂč le nombre de tĂ©lĂ©chargement est limitĂ©. Il a Ă©tĂ© fondĂ© en 2004. LinkedIn: c’est un rĂ©seau professionnel, il permet de publier et partager son CV. Viadeo: il permet d’établir des contacts professionnels, vous faire connaĂźtre
 en publiant son CV. Il propose Ă©galement des offres d’emploi.. Ziki : il a pour but d’aider les entreprises Ă  trouver le meilleur prestataire de service pour la rĂ©alisation d’un projet. InterFrench : rĂ©seau francophone mondial pour les projets Ă  l’étranger. Piwie : le premier chat business. Et il en existe plein d'autres encore ! Les rĂ©seaux sociaux s’imposant de plus en plus dans nos foyers, la question de l’utilisation des rĂ©seaux en classe s’impose donc. Est-ce une critique nĂ©gative en disant que c’est un effet de mode ou bien peut-on voir un nouveau support d’apprentissage qui entre dans les pratiques pĂ©dagogiques et Ă©ducatives ? Nous avons choisi de travailler plus en profondeur sur le rĂ©seau social Twitter. Twitter est un outil d’apprentissage et de communication. Son utilisation peut servir dans diverses matiĂšres telles que les mathĂ©matiques, l’éducation civique et morale, le français et Ă©videmment le numĂ©rique. Le but Ă©tant de dĂ©livrer aux Ă©lĂšves une Ă©ducation aux mĂ©dias et Ă  Internet en dĂ©veloppant les compĂ©tences du numĂ©rique et en veillant Ă  adopter un usage responsable. En ECM, on peut aborder avec eux le droit Ă  l’image, la gestion et le respect de la vie privĂ©e
   III- Les diffĂ©rents enjeux des rĂ©seaux sociaux en classe "Les Ă©coles bouillonnent d'initiatives que les classes retrouvent sur Internet. Les Ă©changes d'expĂ©riences et d'activitĂ©s pĂ©dagogiques entre instit' ont lieu sur les rĂ©seaux (surtout Twitter) et les blogs de façon horizontale. Il faut espĂ©rer que cette "rĂ©sistance" fera changer le sommet de la pyramide avec le temps" nous dit Jean-Roch Masson, professeur des Ă©coles dans une classe de CP Ă  Dunkerque (devenu une rĂ©fĂ©rence dans le domaine). Il existe prĂšs de 200 twittclasses dans l'hexagone des classes rĂ©fĂ©rencĂ©es sur le site twittclasses.fr. Le plus surprenant est que la transmission de savoirs commence rĂ©ellement Ă  fonctionner entre collĂšgues d'une mĂȘme Ă©cole, mais qu'en gĂ©nĂ©ral cela fonctionne surtout entre professeurs des Ă©coles de rĂ©gions diffĂ©rentes. Les Ă©quipes pĂ©dagogiques ont mis en Ɠuvre le numĂ©rique sous 4 repĂšres :
  • IntĂ©grer le numĂ©rique en Ă©quipe et initier aux premiĂšres rĂšgles du numĂ©rique Ă©ducatif
  • Utiliser le numĂ©rique avec les Ă©lĂšves en dĂ©veloppant des usages collectifs et en les responsabilisant Ă  l’usage des mĂ©dias numĂ©riques
  • Utiliser le numĂ©rique avec les Ă©lĂšves en travaillant de façon interactive et collaborative
  • Enseigner aux Ă©lĂšves Ă  apprendre avec le numĂ©rique dans une dĂ©marche active, productive et citoyenne.
Ces quatre repùres rentrent dans cinq champs d’action qui sont :
  • Comprendre et intĂ©grer les enjeux de la littĂ©ratie numĂ©rique
  • ConnaĂźtre et utiliser les ressources
  • Utiliser les espaces de travail
  • Organiser le travail pĂ©dagogique
  • S’engager dans une dynamique collective
Echanger, communiquer et produire sont les principaux enjeux des rĂ©seaux sociaux Ă  l’école.   Conclusion: Les rĂ©seaux sociaux prennent une grande place dans la vie quotidienne des citoyens de tous Ăąges. Ceux-ci possĂšdent de nombreux avantages, notamment sur le plan social, scolaire et professionnel. Dans le domaine scolaire, ils ont des impacts favorables tels que Ă©changer des informations, discuter de diffĂ©rents travaux, aider les Ă©lĂšves timides Ă  s’intĂ©grer, communiquer de façon plus originale avec les Ă©lĂšves mais Ă©galement les parents et permettre de rendre les apprentissages un peu plus « amusants ». Cependant, il existe Ă©galement des dangers tels que le cyber-harcĂšlement et la cyberdĂ©pendance. NĂ©anmoins, des cours sont mis en place, comme l’Education aux MĂ©dias et Ă  l’Information, pour enseigner le numĂ©rique aux Ă©lĂšves et les prĂ©venir contre les diffĂ©rents dangers d’Internet et ce qu’il faut faire pour se protĂ©ger. Pour de plus amples informations, veuillez cliquer sur le lien suivant et regarder la section 21 du bac Ă  sable pour connaĂźtre les supports utilisĂ©s: http://moodle.espe-bretagne.fr/course/view.php?id=373  

DifficultĂ©s dans l’apprentissage de la lecture en cycle 2 : comment y remĂ©dier par le numĂ©rique ?

La difficulté scolaire, notamment en lecture, peut toucher n'importe quel élÚve au cours de son cursus.

Le cycle 2 est essentiel dans la construction des compĂ©tences des futurs lecteurs. ll est donc important de tout mettre en Ɠuvre pour remĂ©dier au plus vite aux lacunes littĂ©raires.

L'utilisation du numĂ©rique peut alors apparaĂźtre comme une aide Ă  l'apprentissage de la lecture pour les Ă©lĂšves qui rencontrent des difficultĂ©s. La loi de de Refondation 2013 vise Ă  faire entrer L’École dans l'Ăšre du numĂ©rique.

Nous nous intĂ©resserons dans un premier temps Ă  la place du numĂ©rique et l'entrĂ©e en lecture dans les programmes de cycle 2. Puis nous prĂ©senterons les intĂ©rĂȘts du numĂ©rique dans la remĂ©diation de la difficultĂ© en lecture ainsi que deux logiciels (un portĂ© sur le dĂ©codage et l'autre sur la comprĂ©hension). Le point sera Ă©galement fait sur les limites de cette mĂ©thode.

Comment le numérique peut-il venir en aide aux enfants dyslexiques ?

Aujourd'hui de nouvelles techniques d'apprentissage basées sur le numérique émergent pour aider les élÚves dyslexiques. Il s'agit de faciliter le quotidien de ces élÚves qui peuvent rencontrer des difficultés à l'école.

source image: http://psychologie.savoir.fr/test-dyslexie/

Sujet: Le numérique au service de la dyslexie à l'école

* Les instructions officielles/BO/Programmes que disent-ils ? loi de refondation de l'école numérique

* La dyslexie (définition, conséquences) les différentes dys- * Prise en charge des différents protocoles (CLIS, ULIS, CAPSAIS)--> inclusion * Ressources à disposition: techniques (matériels, logiciels) et humaines (AVS) * Entretiens/Reportages/Témoignages

La classe inversée, une révolution ?

Notre réflexion s'est construite à travers différentes lectures, témoignages et articles autour de la classe inversée. Nous avons construit notre travail autour de la problématique suivante : En quoi la classe inversée numérique est-elle bénéfique aux apprentissages ? Notre dossier s'articule autour du plan suivant Introduction
  • Contexte (loi, environnement social et culturel) :la place prĂ©pondĂ©rante du numĂ©rique dans la sociĂ©tĂ©
Plan
  1. La classe inversée, c'est quoi ?
  2. Un nouveau rapport Ă  la connaissance
  3. Avantages et inconvénients de la classe inversée
Conclusion
  • Ouverture

Les classes inversées avec le numérique

Lien vers notre présentation Prezi

      Nous nous sommes intĂ©ressĂ©es Ă  un sujet d'actualitĂ© qui est l'Ă©cole numĂ©rique et plus prĂ©cisĂ©ment le dispositif de classes inversĂ©es. Le modĂšle de classe inversĂ©e est trĂšs flexible : nous pouvons l’utiliser dans diffĂ©rentes disciplines et dans diffĂ©rents cycles. Les classes inversĂ©es permettent de passer d’un modĂšle centrĂ© sur le professeur Ă  un modĂšle centrĂ© sur l’élĂšve : le maĂźtre passe du face-Ă -face au cĂŽte-Ă -cĂŽte. Nous cherchons Ă  dĂ©finir en quoi le dispositif de classes inversĂ©es avec le numĂ©rique peut-il ĂȘtre une aide aux apprentissages ?

I. Les classes inversées : de quoi s'agit-il ?

  1. Historique
  2. Définition et parallÚle entre pédagogie classique et pédagogie inversée
  3. Mise en oeuvre
Transition : Contrainte d'une connexion obligatoire et alternatives possibles. II. Les objectifs de l'enseignant
  1. Adapter la pratique pédagogique
  2. Un exemple de plateforme : l'ENT Iconito
  3. En terme de compĂ©tences (savoir, savoir-faire, savoir-ĂȘtre)
III. Les compétences chez l'apprenant (le vécu)
  1. En quoi le dispositif donne-t-il du sens ?
  2. Acquisitions des compétences