Dans le cadre des pratiques partenariales : journée passée avec le danseur Thierry Micouin pour un atelier découverte danse et travail sur les gestes de l’enseignant et l’appropriation de l’espace de la classe.
Étiquette : corps
Investigation sur les programmes/Corps accords et désaccords/Leena-Céline-Morgane
Il s’agit d’une séquence de 2 séances : travail sur le sujet du cadavre exquis. En trinôme, élaborer une créature hybride en pratique bidimensionnelle.
Il s’agit, à partir de la citation du poète Jacques Prévert : “j’ai mis mon képi dans la cage et je suis sorti avec l’oiseau sur la tête.”, d’impliquer l’élève, susciter sa curiosité, le bousculer, le faire rêver.
Situation d’enseignement. Elora, Marion.L, Gwendoline
Le ballet Triadique, Oskar Schlemmer, 1922
Lors de l’élaboration de cette séance nous avions dans un premier temps l’envie de faire travailler les élèves en groupes. Les notions ayant influencées notre proposition sont celle du corps dans la production artistique ainsi que le détournement d’objets en matériaux. Nous avons développé une proposition qui permet d’élargir les champs des arts plastiques aux champs du design. Nous proposons aux élèves de travailler sur un accessoire de la Fashion-Week de demain. La contrainte est de travailler uniquement le magazines comme matériau.
séance Pdf
L’homme et l’animal : ça se ressemblent ? – Musée des Beaux-arts de Rennes – Clémence, Maéva, Laura
-> L’homme et l’animal : ça se ressemblent ?
-> Comment l’anthropomorphisme réduit la limite entre l’homme et l’animal ?
Oeuvres de références : La chasse au tigre, Pierre Paul RUBENS, vers 1616, La Chasse au loup, Alexandre François DESPORTES,1725, Huile sur toile, Attaque de voleurs, François Joseph CASANOVA, 1775 (tableaux présent au Musée des beaux arts)
Autres références : Honoré Daumier, Les Poires, 1831, Les fable de la Fontaine, Ces animaux qui nous gouvernent, Claude Morchoisne, 1984
-> UE 1.2 Connaissance des arts – EC – Pratiques partenariales – Nédellec, Bricet, Haye
Corps/Geste/Mouvement/Peinture – Cariou Lebehot Thibaudeau
Notion: Corps/Geste
Pratique: Dessin/Peinture
Axe du programme: La représentation plastique et les dispositifs de présentation
Le lien de la notion corps/geste à la pratique de dessin/peinture est un champ vaste: nous avons opté pour développer le lien « corps-image »/ »corps-geste » en travaillant sur la silhouette et surtout la question du mouvement dans la représentation plastique.
PDF: Pistes d’apprentissage cycles3-4/Cariou-Lebehot-Thibaudeau
ODT: Pistes d’apprentissage cycles3-4/Cariou-Lebehot-Thibaudeau
Références artistiques-Cariou Lebehot Thibaudeau
Lien vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=E9OSOFIwAgc&spfreload=10
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Et si on dansait !
Cette séance s’inscrit dans une séquence sur le mouvement avec comme première approche la danse en EPS dans une classe de CP / CE1. La séquence est composée d’une séance en EPS et de trois séances en art visuel
Je vous propose d’analyse la deuxième séance en art visuel que j’ai pu menée : Et si on dansait !
Cahet Estelle TD1 TP2
Esther FERRER, le chemin se fait en marchant…
Esther Ferrer, pionnière de l’art de l’action ou de la performance, déambule dans la ville, armée d’un rouleau de scotch..L’artiste propose une sorte de cartographie, sans règle ni crayon, au rythme et à l’échelle de la marche à pied.
Plus récemment, en 2014, elle est intervenue au FRAC Bretagne. voir également ses autres performances…et le dossier pédagogique édité par le Frac: Dossier pédagogique Esther Ferrer
le blog de Ben Vautier et ses performances dans l’esprit subversif de Fluxus
La compagnie Willi Dorner, des performeurs en action, in-situ, dans la ville… »Bodies in urban spaces » -Montpellier, novembre 2010
S’immiscer dans un interstice, embrasser une colonne, s’imbriquer dans un banc, faire corps avec une porte
Se réapproprier physiquement et poétiquement l’espace public:
Willi Dorner invente de surprenantes sculptures humaines qui transforment la ville en un terrain de jeu jouissif. Héritier indirect des performeurs des années 60 qui descendaient dans les rues pour combattre l’architecture déshumanisante des mégapoles américaines, le chorégraphe autrichien se souvient que « la portée poétique du mouvement peut réveiller les sens latents de la cité. » Après New York, Philadelphie, Paris, Berlin, Marseille, Londres, il a proposé à Montpellier les 11, 12 et 13 novembre 2010, dans le cadre de la 1ère ZAT – Zone Artistique Temporaire, un parcours chorégraphique inédit, avec 20 performeurs, traversant trois univers urbains contrastés : la gare, le Polygone et Antigone.
Les performeurs : Lise Bois, Julien Degremont, Mathilde Duclaux, Marion Fievet, Mathilde Gautry, Geneviève Guillaud, Gemma Horner, Esther Kaijin, Sylvie Klinger, Emma Loriaut, Jules Martin, Yves Massaroto, Lisa Nogara, Romane Peytavin, Anaïs Roméo, Fabian Viguier, Karl Paquemar, Eric Stieffatre, Waskar Coello Chavez, Paul George.
Déjà, en 1970, l’artiste conceptuel et corporel, Dennis oppenheim questionnait le rapport du corps et de l’environnement:
« Parallel Stress » est un document qui assemble deux actions que Dennis Oppenheim a réalisé à New York en 1970.
Dans un cadre, deux photographies (n/b) séparées d’un texte qui présente le temps de l’action et les lieux où elles se sont réalisées. Par cette présentation, le performeur insiste sur la prolongation de ses actes.
Entrer dans le tableau, le vivre de l’intérieur
Le chorégraphe Josef Nadj et le peintre Miquel Barcelo créent sur scène une pièce-tableau.
« Paso doble », pièce créee en 2006 au festival d’Avignon.
La passion de Josef Nadj pour le geste du peintre l’a conduit, il y a environ cinq ans, dans l’atelier
de Miquel Barceló. Ce fut le premier temps d’un dialogue stimulant et fécond entre deux artiste s
qui ont pu, peu à peu, découvrir leur degré de connivence, le nombre de leurs préoccupations et de
leurs intérêts communs. Jusqu ’à ce qu’un beau jou r, « com me en une sorte de confession », Nadj
déclare son désir « d’entrer dans le tableau, de le vivre de l’intérieur, d’y réagir physiquement et pas
seulement mentalement ». Et que Barceló réponde : « Oui, mais comment? »
…Alors… l’expression d’une rencontre, une double confrontation avec l’argile, un pari et une expé-
rience de partage, l’ouverture d’un espace, d’un territoire qui mobilise tous les sens et qui conjugue
la danse, le théâtre, les arts plastiques. Et puis le son et la lumière.
Myriam Blœdé