Exposition de multiples issus de la collection du PHAKT. Thème: Noir et blanc et langages.

Multiples de Claude Levêque, Mathieu Tremblin, Jocelyn Cottencin, Jean-François Karst, Clément Aubry, Gaël Grivet, Richard Marnier.
Pour plus de détails sur les œuvres, voir la thématique  » langage dans les arts plastiques »dans le catalogue en ligne du Phakt: https://www.phakt.fr/wp-content/uploads/2014/04/web-collection.pdf

Rencontrer sensiblement les oeuvres par des approches multiples: plastiques, procédurales, iconiques, sémantiques, non-verbales, verbales, écrites, ludiques, pédagogiques, dansées, comportementales, documentées.

Interroger l’image et le langage par les codes de représentation, codes iconiques, codes langagiers, codes typographiques. Aborder les notions de: série-variation-citation -représentation-figuration/abstraction – accident/hasard – traces/empreintes – espaces- processus/procédé – composition/décomposition- ordre/désordre – inventaire/abécédaire – allégorie/langage- signes/symboles.

captation sonore d’un rythme gestuel crée par un feutre sur le papier

Exposition présentée du 10 Février au 30 Mars 2020 à l’espace Ec’art (Galerie d’art à vocation pédagogique) du site de L’INSPE de Rennes.

Exposition à venir: « le supermarché des images » du 11 Février au 07 Juin 2020 à la galerie du jeu de Paume à Paris:

« Nous habitons un monde de plus en plus saturé d’images.

Leur nombre connaît une croissance tellement exponentielle – aujourd’hui plus de trois milliards d’images partagées chaque jour sur les réseaux sociaux – que l’espace de la visibilité semble être littéralement submergé. Comme s’il ne pouvait plus contenir les images qui le constituent. Comme s’il n’y avait plus de place, plus d’interstices entre elles. On s’approcherait ainsi de la limite que Walter Benjamin, il y a un siècle déjà, imaginait sous la forme d’« un espace à cent pour cent tenu par l’image ».

Face à une telle surproduction d’images, se pose plus que jamais la question de leur stockage, de leur gestion, de leur transport (fût-il électronique) et des routes qu’elles suivent, de leur poids, de la fluidité ou de la viscosité de leurs échanges, de leurs valeurs fluctuantes – bref, la question de leur économie. Dans l’ouvrage dont est issue cette exposition, la dimension économique de la vie des images prend le nom d’iconomie » .

http://www.jeudepaume.org/?page=article&idArt=3288

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